France, 1907 : Grand événement. Même observation que ci-dessus.
— L’été venu, nous le faisons d’abord paraître sur un suburbain quelconque, où il n’achève même pas le parcours. L’avant-veille du great event, nous le retirons au dernier moment dans une course où nous l’avons engagé ; nous faisons imprimer dans les feuilles spéciales les échos les plus alarmants pour la santé du cheval… cassé les paturons à l’exercice, toux persistante et, enfin, quand arrive le grand pour, nous le ramassons à cent contre un, tant que nous voulons.
(Maurice Donnay, Les Affaires)